Autos Classiques

Toyota Crown (S80) 1974-1979 6L. 1988/2563 cm³ (4L Diesel) 2188 cm³ En novembre 1974, Toyota dévoile la cinquième série de son modèle haut de gamme. Cette fois, le style est beaucoup plus conventionnel. La gamme comprend les berline 4 portes, break 4 portes et coupé hardtop ainsi qu'au Japon, une berline hardtop. La gamme des moteurs est identique à celle de la génération précédente. En Europe, seul le 6 cylindres de 2.6 litres est disponible. Il développe 135 ch SAE (116 ch DIN). Sur certains marché toutefois, on trouve une version équipée du 2 litres de 81 ch. En 1978, la Crown bénéficie d'un léger restylage et est proposée dans une version à moteur Diesel.  

Maserati Bora 1974-1978 V8 - 4930 cm³ - 330 ch En 1974, Maserati propose la Bora également avec le moteur 4.9 litres plus puissant.

Evolution de la 44, lancée en novembre 1974, la Daf 46 reçoit, comme la 66, un essieu arrière de type de Dion et une transmission Variomatic à une seule courroie.

Au Salon de Turin, novembre en 1974, Lancia complète la gamme Beta avec la berline 1300. Ce modèle de base reprend le moteur 1297 cm³ (82 ch) de la Fulvia.

Triumph Spitfire 1500 1974-1980 4L. 1493 cm³. 75 ch Présentée en novembre 1974, la dernière série de la Triumph Spitfire est proche de la Mk IV. Elle s'en distingue par son moteur 1.5 litres. L'augmentation de la cylindrée est nécessaire afin de conserver un niveau de puissance suffisant tout en répondant aux nouvelles normes anti-pollution américaines. Extérieurement, la Spitfire 1500 se distingue par un spoiler monté sous le pare-chocs avant et des marquages spécifique. La production est arrêtée en août 1980.

Au Salon de Turin, en novembre 1974, Lamborghini dévoile deux nouvelles versions du coupé Urraco. La P200, à moteur 2 litres, est spécialement conçue pour le marché italien où sa petite cylindrée lui permet d'échapper aux taxes appliquées aux voitures de plus de 2 litres. La P300 est dotée d'un moteur à la cylindrée portée à 2996 cm³, avec une puissance de 265 ch. Par rapport à la P250, la finition est améliorée. Le moteur 3 litres reçoit une distribution à quatre arbres à cames en tête et est alimenté par quatre carburateurs double corps. La P300 est produite à 205 exemplaires de 1974 à 1979.

Fin 1974, Volkswagen propose une série spéciale LX sur base de la Passat. Elle est proposée en berline 3 portes de couleur argent ou en berline 5 portes de couleur tourmaline. Le moteur est au choix le 1300 de 55 ch ou le 1500 de 75 ch. Son équipement spécifique comprend notamment des doubles phares halogènes, une console centrale avec radio, une banquette arrière rabattable, des vitres électriques et un rétroviseur réglable depuis l'intérieur. En mars 1976, Volkswagen propose une deuxième série spéciale Passat LX qui se caractérise notamment par ses pare-chocs "à l'américaine".

Innocenti Mini 120 1974-1981 4 cyl. 1275 cm³. 65 ch A la fin des années 1960, Luigi Innocenti lance l'étude d'un nouveau modèle destiné à remplacer la Mini produite sous licence. Avec ce nouveau modèle, Innocenti souhaite rester concurrentiel face aux autres constructeurs comme Autobianchi (A 112) et Fiat (la future 127). La conception de la nouvelle Innocenti est confiée à Bertone et Michelotti. Mais la situation financière d'Innocenti d'une part, et la pression de la British Leyland qui menace d'interrompre ses livraisons d'autre part, conduisent à l'arrêt du projet. En 1971, la British Leyland rachète Innocenti et son nouveau directeur, Geoffrey Robinson, ressort le projet des tiroirs. En 1972, Marcello Gandini (Bertone) reprend l'étude mais uniquement pour la carrosserie ; la plateforme et la mécanique seront reprises de la Mini. C'est au Salon de Turin, en 1974, que la nouvelle Innocenti Mini est dévoilée. La carrosserie, de style modern

Innocenti Mini 90 1974-1981 4 cyl. 998 cm³. 49 ch A la fin des années 1960, Luigi Innocenti lance l'étude d'un nouveau modèle destiné à remplacer la Mini produite sous licence. Avec ce nouveau modèle, Innocenti souhaite rester concurrentiel face aux autres constructeurs comme Autobianchi (A 112) et Fiat (la future 127). La conception de la nouvelle Innocenti est confiée à Bertone et Michelotti. Mais la situation financière d'Innocenti d'une part, et la pression de la British Leyland qui menace d'interrompre ses livraisons d'autre part, conduisent à l'arrêt du projet. En 1971, la British Leyland rachète Innocenti et son nouveau directeur, Geoffrey Robinson, ressort le projet des tiroirs. En 1972, Marcello Gandini (Bertone) reprend l'étude mais uniquement pour la carrosserie ; la plateforme et la mécanique seront reprises de la Mini. C'est au Salon de Turin, en 1974, que la nouvelle Innocenti Mini est dévoilée. La carrosserie, de style moderne,